Solimut Mutuelle de France affine la gestion des charges d’exploitation de ses actifs avec les données de terrain

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Solimut Mutuelle de France passe à la version 7 du progiciel d’Oslo FM de gestion des approvisionnements et dépenses liés aux actifs. Poussée par la pandémie, l’entreprise veut automatiser ses processus et s’appuyer sur des données plus précises pour une meilleure visibilité sur sa gestion d’actifs. (Photo Google Maps DR)

Solimut Mutuelle de France, groupe mutualiste de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, a décidé de passer à la version 7 de la solution Oslo FM d’Oslo à partir du 1er mars 2022 . L’entreprise utilisait déjà la solution de gestion des approvisionnements et dépenses liés aux actifs d’Oslo depuis 2011 pour la gestion de son parc immobilier, de ses 70 véhicules, des fournitures, des factures fournisseurs via l’interface avec SAP, des contrats, des échéances ou encore des cartes essences.

Comme beaucoup d’autres entreprises, la mutuelle a accéléré sa transformation digitale avec la pandémie. Outre la digitalisation de ses processus de gestion des actifs qui automatisent de nombreuses tâches administratives associées, la mutuelle voit l’exploitation des datas extraites via Oslo 7 comme des « leviers d’efficacité dans les dépenses et les investissements ». Elle veut par exemple tirer profit des données de terrain avec un référentiel unique d’informations sur le parc immobilier et les équipements pour affiner la gestion de ses charges d’exploitation en particulier.

Calculer rapidement le coût au m2 par occupant

Gaël Ferrucci, adjoint au responsable des services généraux de Solimut Mutuelle de France précise dans un communiqué que l’entreprise pourra ainsi « évaluer, en quelques clics, le coût au m2 par occupant, dans chacun de [ses]bâtiments ou de [ses]immeubles. […] une analyse détaillée de nos charges d’exploitation et de nos investissements nécessaires, en alliant faisabilité et viabilité financière. » Il affirme par ailleurs apprécier l’autonomie laissée à l’entreprise dans le paramétrage du logiciel.

Clémence Tingry

 

 

 

 

 

 

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