Sept erreurs à ne pas commettre pour ne pas tuer les promesses du low code

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Pour numériser et automatiser les processus métier, les entreprises intensifient leurs initiatives de « développement citoyen », mais l’utilisation d’outils low-code et no code nécessite des précautions. (Photo Pixabay/Innova Labs)

Actuellement, les entreprises déploient davantage d’outils et de processus low-code, car elles cherchent à développer plus efficacement et à soutenir les initiatives digitales des métiers. Pour que ces projets réussissent, il faut néanmoins éviter certaines erreurs courantes. Cet article adapté de CIO États-Unis présente sept d’entre elles.

Le cabinet de recherche Gartner a prévu que le marché mondial du développement low-code totalisera 13,8 milliards de dollars en 2021, soit une augmentation de 23% par rapport à 2020. L’augmentation du développement à distance pendant la pandémie a continué de stimuler l’adoption du low-code, selon le cabinet. Le développement d’applications low-code n’est pas nouveau, souligne Gartner, mais une confluence de « ruptures numériques, d’hyperautomatisation et l’essor de l’entreprise composable » a entraîné un afflux de solutions et une demande croissante. Le low-code en tant que tendance technologique et de société devrait continuer à croître de manière significative, prédit le cabinet. Le marché comprend des produits tels que des plates-formes d’applications low-code, des suites intelligentes de gestion des processus métier, des outils d’automatisation robotique des processus (RPA) et des plates-formes d’automatisation et de développement citoyen.

L’accélération de la transformation digitale pousse les décideurs IT à augmenter considérablement la vitesse de livraison des applications, et les outils low-code répondent à cette attente. La demande croissante d’outils applicatifs personnalisés pour soutenir la transformation numérique a fait émerger des développeurs citoyens en dehors du service IT, ce qui a contribué à son tour à l’essor des outils low-code, selon Gartner. Le déploiement de produits et de processus low-code peut cependant être parsemé d’embûches. Les organisations doivent en être conscientes, afin de pouvoir les éviter ou d’en minimiser l’impact sur leurs services de développement.

1. Oublier les bonnes pratiques de base du développement

« Les plus gros problèmes que j’ai rencontrés proviennent d’une mauvaise compréhension de ce qu’une stratégie low-code apporte réellement », déclare Mandy Andress, RSSI d’Elastic, éditeur de solutions de recherche et analyse de données. « De nombreuses organisations adoptent une stratégie low-code pour économiser de l’argent ou accélérer le développement. Mais cela ne fonctionne que si elles comprennent les coûts qu’une stratégie low-code peut optimiser. » Une stratégie low-code peut aider à réduire les coûts RH sur un projet, en permettant à des développeurs moins expérimentés de créer des fonctionnalités avancées, explique Mandy Andress. La vitesse de développement peut également être un bénéfice, en particulier si les composants sont réutilisés dans plusieurs applications. « Ce que beaucoup d’organisations oublient, ce sont les processus métier globaux et la gouvernance, nécessaires pour garantir qu’une application est développée pour répondre aux besoins métiers », explique Mandy Andress. « Quelles sont les exigences métiers ? Quels sont les principaux contrôles métiers que nous devons mettre en oeuvre, comme la ségrégation des tâches ? »
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Bob Violino / CIO États-Unis (Adaptation et traduction par Aurélie Chandèze)

Pour lire la suite de l’article, rendez-vous sur le site de notre publication sœur Le Monde Informatique.

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